
Outils en mémoire cellulaire : explication et mise à disposition
J’ai à coeur de mettre à votre disposition différents outils issus de la mémoire cellulaire et de la psychogénéalogie : guides pratiques, rituels symboliques, grilles vierges (comme le génosociogramme), exercices corporels…
Ces ressources sont offertes en accès libre, pour vous permettre d’explorer par vous-même vos héritages invisibles, à votre rythme. Vous pouvez les utiliser de façon autonome, dans l’intimité de votre cheminement, ou bien comme soutien à un accompagnement thérapeutique en cours.
⚠ Une mise en garde cependant : certains de ces outils, notamment les rituels et le génosociogramme, peuvent faire remonter des émotions intenses ou révéler des mémoires profondes. Cela fait partie du processus, mais il est essentiel de respecter votre rythme. Si vous ressentez que cela devient trop difficile ou déstabilisant, n’hésitez pas à vous tourner vers un thérapeute formé, afin d’être accompagné dans cette traversée.
Ces outils sont une invitation, non une obligation. Choisissez ce qui résonne pour vous, en conscience et en douceur, en cohérence totale avec votre rythme.
Les outils de la mémoire cellulaire à utiliser en autonomie
Les rituels de la mémoire cellulaire
Que vous ayez envie de prendre rendez-vous ou que vous ayez juste quelques questions, je vous invite à prendre contact avec moi.
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FAQ – Questions fréquentes
Qu’est-ce qu’un rituel ?
Un rituel est un acte symbolique conscient qui rend visible une transformation intérieure. Il relie le corps, la psyché et la mémoire familiale, en inscrivant dans la matière ce qui se transforme dans l’invisible.
Le rituel en psychogénéalogie aide à reconnaître, honorer et transformer les héritages invisibles. En rendant concret ce qui se joue dans le subtil, il restaure la circulation de la vie dans la lignée.
Un rituel juste est simple, clair et aligné avec votre intention profonde.
Il ne s’agit pas de “faire beau”, mais de poser un geste sincère : écrire une lettre, allumer une bougie, déposer un objet symbolique…
Ce qui compte, c’est le sens que vous y mettez.
Un bon rituel se prépare en conscience, sans forcer l’émotion, avec respect pour soi et pour sa lignée.
Il peut être accompagné d’un temps d’écoute du corps ou de méditation.
Pour aller plus loin, vous pouvez découvrir sur le blog plusieurs exemples et propositions de rituels adaptés au travail en mémoire cellulaire et en psychogénéalogie.
Oui.
Un rituel n’est jamais anodin : il touche à des mémoires profondes et peut raviver des émotions anciennes.
Avant d’en entreprendre un, prenez le temps de vous centrer, de poser une intention claire et de vérifier que vous êtes dans une période stable.
Il est important de ne rien forcer : si une émotion ou un souvenir devient trop intense, faites une pause.
Certains rituels nécessitent un accompagnement thérapeutique pour être vécus en sécurité.
Un rituel juste se fait toujours dans le respect du rythme intérieur et sans recherche de performance.
Un génogramme est une représentation graphique de votre arbre familial, qui met en lumière les liens, les événements marquants et les répétitions à travers les générations.
C’est un outil de psychogénéalogie utilisé pour comprendre les transmissions inconscientes, les loyautés invisibles et les schémas récurrents au sein de la lignée.
Vous pouvez construire votre génogramme à partir d’une feuille blanche ou d’un modèle vierge.
Commencez par vous placer au centre, puis ajoutez vos parents, grands-parents et arrière-grands-parents, en notant les dates de naissance, décès, unions, séparations.
Reliez les membres entre eux avec des traits et ajoutez des commentaires ou ressentis si certains éléments vous touchent particulièrement.
L’essentiel n’est pas la perfection du dessin, mais ce que vous découvrez en le réalisant.
Chaque détail peut devenir un point d’appui pour comprendre votre histoire familiale.
Des modèles et ressources pratiques pour créer votre génogramme sont disponibles sur mon site.
Oui, quelques repères simples permettent d’en faire un outil clair et utile.
Utilisez des symboles cohérents : les carrés pour les hommes, les cercles pour les femmes, les lignes horizontales pour les couples, les verticales pour les filiations.
Ajoutez les dates importantes, les prénoms et, si possible, les liens affectifs (proches, distants, conflictuels…).
Un arbre généalogique retrace principalement la filiation biologique : les noms, les dates, les liens de parenté.
Un génogramme, lui, va plus loin.
Il explore les liens affectifs, émotionnels et symboliques entre les membres de la famille, les événements marquants, les répétitions, les traumatismes ou les secrets.
Là où l’arbre généalogique décrit qui est qui, le génogramme révèle ce qui se rejoue à travers les générations.
C’est un outil de psychogénéalogie et de mémoire cellulaire qui aide à mettre en lumière les transmissions inconscientes pour mieux s’en libérer.


