Anaëlle LE COGUIC
Thérapeute en mémoire cellulaire et en psychogénéalogie
ANAËLLE
LE COGUIC
Thérapeute en mémoire Cellulaire
Formée aux sciences exactes, j’ai d’abord été sceptique face aux approches alternatives. Mais les recherches en épigénétique, neurosciences du trauma et psychologie périnatale ont validé ce que j’observais empiriquement : le corps garde la mémoire de nos expériences, notamment celles de notre vie intra-utérine, nos premiers mois de vie et de notre histoire transgénérationnelle.
A propos d'Anaëlle
La pharmacie
Mon chemin n’a pas commencé dans une salle de thérapie, mais dans une pharmacie.
Pendant quinze années, j’ai accompagné la santé physique, étudié les mécanismes du corps, les déséquilibres, les traitements.
Et si ce travail m’a beaucoup appris, une part de moi restait en quête.
Une quête de sens. Une autre manière d’écouter.
Myriam Brousse
Un jour de 2018, dans une librairie parisienne, un livre m’a littéralement appelée : Votre corps a une mémoire, de Myriam Brousse.
Je l’ai lu d’un souffle. Quelque chose s’est ouvert.
Je ne l’ai pas compris tout de suite, mais ce que je lisais là — c’était exactement ce que je cherchais à faire sans encore le savoir.
Une pratique qui relie le corps, la conscience, l’histoire, les mémoires.
Une manière d’écouter qui ne cherche pas à faire taire, mais à comprendre ce que le corps tente de dire.
J’ai alors contacté Myriam. Elle est devenue ma thérapeute.
Puis, quelques mois plus tard, ma formatrice.
Pendant quatre ans, j’ai suivi l’enseignement de l’école Corps et Sens, qu’elle a fondée, et me suis formée à la mémoire cellulaire et à la bio résonance cellulaire.
Le voyage & la photographie
Cette transition ne s’est pas faite en un jour.
Après avoir vendu ma pharmacie, j’ai pris le « large ».
Trois années de voyage à travers l’Amérique latine et l’Asie. Trois années pour désapprendre, écouter autrement, voir le monde, et sentir ce qui m’appelait vraiment.
A Pondichéry, une évidence s’est imposée : je n’avais pas à choisir.
Je pouvais vivre entre la France et l’Inde. Exercer sur deux terres.
Offrir cette approche avec cœur, sérieux et bienveillance.
Pondichéry
Pondichéry est un lieu fondateur pour moi.
C’est là que Sri Aurobindo et Mirra Alfassa ont mené leurs recherches sur la conscience cellulaire — des explorations intérieures profondes qui ont inspiré Myriam Brousse dans le développement de la méthode en mémoire cellulaire.
Cet héritage vivant fait de Pondichéry bien plus qu’un lieu de séjour : c’est un berceau. Un espace de ressourcement, de silence et de vision.
Y vivre une partie de l’année me permet de rester connectée à la source de ce travail, tout en incarnant sa mise en œuvre dans mes cabinets en France.
Si vous avez envie de voyager un instant à mes côtés, c’est ICI.
Accompagner, en conscience
Aujourd’hui, j’accompagne les personnes qui ressentent en elles un appel à se libérer de schémas répétitifs, de blocages profonds, ou d’un mal-être qui ne trouve pas de cause apparente.
Mon rôle : écouter ce que le corps a à dire, là où les mots ne suffisent plus.
J’utilise la grille de vie de Marc Fréchet, le projet-sens, la descente dans le corps, la bio résonance cellulaire, et une lecture transgénérationnelle de l’histoire.
Chaque séance est un espace d’écoute, de prise de conscience et de transformation.
Je suis supervisée par un psychologue clinicien pour garantir un cadre éthique, rigoureux et respectueux du vivant.
Un chemin vivant
Je ne crois pas à une vérité figée.
Même si ma formation en mémoire cellulaire est terminée, mon chemin, lui, reste en mouvement.
Je continue à explorer d’autres voies d’accès à l’invisible : méditation Vipassana, tarot symbolique (Christine Michel), constellations familiales (Martine Garcin Fradet), stages de chamanisme (Gilles Wurtz).
Je veille à toujours affiner mon écoute, ma posture, ma manière d’accompagner.
Ce qui m’anime
Je vis aujourd’hui entre deux terres : la France et l’Inde.
Loin de moi l’idée d’opposer ces pôles : bien au contraire, je cherche à les allier, à les marier, à les faire dialoguer.
Je n’ai pas deux vies séparées. J’en ai une seule — riche, tissée, vivante — où ce qui me fait vibrer s’aligne un peu plus chaque jour.
Je suis aussi passionnée de photographie, de navigation à la voile, et des grandes traversées – extérieures comme intérieures.
Ces expériences nourrissent ma vision du soin : sensible, incarnée, et respectueuse du rythme de chacun.
Pourquoi je fais ce métier ?
Parce que j’ai vu trop de personnes tourner en rond. Trop de douleurs qui ne partent jamais vraiment. Trop de poids portés sans savoir pourquoi. Trop de schémas répétés sans comprendre d’où ils viennent.
Et parce que je sais qu’il y a un chemin.
Pas un chemin facile. Pas un raccourci. Mais un chemin.
Celui qui passe par le corps, par les mémoires, par les lignées. Celui qui transforme les empreintes en leviers de libération. Celui qui brise les chaînes pour soi et pour les générations à venir.
Si vous êtes ici, c’est que vous cherchez ce chemin.
Peut-être que je peux vous y accompagner.
Est-ce que je suis supervisée dans ma pratique ?
Ma pratique est supervisée de manière régulière par un professionnel exerçant depuis plus de trente ans dans le champ de la thérapie et de la mémoire du corps.
Cette supervision garantit la qualité, la justesse et l’éthique de l’accompagnement que je propose.
Dans les métiers de la relation d’aide, la supervision n’est pas une option : c’est une obligation déontologique.
Elle permet au thérapeute de continuer à questionner sa posture, d’éclairer ce qui se rejoue dans la relation et d’assurer un cadre sécure et respectueux pour la personne accompagnée.
C’est un espace de recul et d’humilité, au service de votre travail intérieur.
Mes formations
- Doctorat en Pharmacie en collaboration avec l’unité d’addictologie de la Pitié-Salpêtrière (sujet cocaïne-base (crack))
- Formation en mémoire cellulaire chez Corps et Sens (Myriam et Véronique Brousse)
- Communication profonde accompagnée avec Martine Garcin Fradet
- Astrologie en mémoire cellulaire avec Philippe Sonneville
- Psychogénéalogie et analyse transgénérationnelle avec Bruno Clavier & le Jardin d’idées
Mon activité de thérapeute n’a pas vocation à délivrer un diagnostic ou une ordonnance. En cas de problématique de santé, veuillez consulter en priorité votre médecin généraliste.
Si vous vous sentez en situation d’échec, si vous sentez que l’ennui est trop présent dans votre quotidien, que vous sentez l’appel vers autre chose, mais que vous n’osez pas, nous pouvons en discuter et mettre de la clarté sur vos blocages.
Un autre chemin peut être emprunté, quels que soient l’âge et la situation sociale. C’est une décision avant tout. Parlons-en.