
Anaëlle LE COGUIC
Thérapeute en mémoire cellulaire
ANAËLLE
LE COGUIC
Thérapeute en mémoire Cellulaire
Femme de 42 ans au parcours atypique.
Bretonne, mais aussi Normande.
J’ai grandi en Normandie dans un milieu rural, au milieu des champs de culture biologique de ma famille paternelle. Avant de m’envoler pour des études qui me conduiront à devenir Docteur en Pharmacie puis Thérapeute en Mémoire Cellulaire.
A propos de moi
Ayant vécu plus d’une vingtaine d’années sur les côtes normandes et ayant eu un papa navigateur, je suis passionnée de voile. Je suis fascinée par l’Océan et cet univers encore si peu connu par l’humain.
Je suis aussi passionnée de photographie. J’ai eu la chance de parcourir l’Europe, l’Amérique latine, une partie de l’Afrique et de l’Asie et de pouvoir saisir à travers mon appareil photo celles et ceux qui m’ont émue, mais aussi de pouvoir capter des paysages d’une beauté incomparable.
Si vous avez envie de voyager un instant à mes côtés, c’est ICI.


Mon parcours
Je n’ai jamais été une bonne élève. J’ai passé deux fois mon baccalauréat, mon concours de première année en pharmacie et même mon code de la route. J’ai redoublé ma troisième année de pharmacie et j’ai soutenu ma thèse un an après tous mes amis de la Faculté de Caen.
Après ces années d’études pour le moins tumultueuses entre Caen et Châtenay-Malabry j’ai eu la chance de rencontrer deux pharmaciens qui m’ont proposé d’acheter une pharmacie à Bagnolet dans le 93.
Même si l’aventure à leur côté a été exceptionnelle, au fond de moi, il y avait toujours une dissonance.
Quelque chose ne vibrait pas à l’être que je suis. C’est pourquoi, après la tempête du Covid, nous avons vendu cette pharmacie et je me suis envolée pour parcourir le Monde.
J’ai longtemps vécu comme un échec cette première période de vie, car les autres réussissaient où moi j’échouais sans cesse. Les autres avançaient et moi, j’avais le sentiment de stagner voir de reculer.
Puis un jour, je me suis tournée vers ce qui me passionnait vraiment et il n’y a plus eu de « redoublement », l’ennui n’était plus au rendez-vous.
Je dirai pour conclure que lorsqu’il y a de la souffrance, du désintérêt, de l’ennui, il faut OSER changer de chemin. S’aventurer ailleurs. Reprendre le contrôle de sa vie et aller vers ce qui nous anime, nous fait nous sentir VIVANT. Nous sommes souverains en notre royaume. À nous de décider d’y régner ou de laisser le pouvoir aux autres.
Jour après jour, faisons en sorte de nous unir à ce qui nous fait vibrer.

Mes formations
- Doctorat en Pharmacie en collaboration avec l’unité d’addictologie de la Pitié-Salpêtrière (sujet cocaïne-base (crack))
- Formation en mémoire cellulaire chez Corps et Sens (Myriam et Véronique Brousse)
- Communication profonde accompagnée avec Martine Garcin Fradet
- Astrologie en mémoire cellulaire avec Philippe Sonneville
- Psychogénéalogie et analyse transgénérationnelle avec Bruno Clavier & le Jardin d’idées
Mon activité de thérapeute n’a pas vocation à délivrer un diagnostic ou une ordonnance. En cas de problématique de santé, veuillez consulter en priorité votre médecin généraliste.
Si vous vous sentez en situation d’échec, si vous sentez que l’ennui est trop présent dans votre quotidien, que vous sentez l’appel vers autre chose, mais que vous n’osez pas, nous pouvons en discuter et mettre de la clarté sur vos blocages.
Un autre chemin peut être emprunté, quels que soient l’âge et la situation sociale. C’est une décision avant tout. Parlons-en.